•  Que la fête continue !!!

     Une bonne nouvelle n’arrive jamais seule,  cet adage antédiluvien vient de frapper à ma porte. Sur le salon du livre dont je vous ai parlé dans mon post précédent, j’ai rencontré des lecteurs, des auteurs et des éditeurs franchement impliqués dans leur profession. Grace à mon sympathique voisin, j’ai pu m’inscrire à un salon qui se déroulera le dimanche 27 octobre 2013 à Moneteau, toujours en Bourgogne. Dans la foulée je me suis vu invité au salon du livre de Guillerval dans l’Essonne le 24 novembre et pour finir mon éditeur, qui fait de son mieux pour promouvoir ses auteurs, vient de m’inscrire au salon de Mennecy toujours dans l’Essonne pour le début décembre.

     Pas un salon en trois mois puis quatre à la file, le vent tourne….. Si d’aventure à ces dates-là vous étiez de passage dans ces départements n’hésitez pas à venir me rendre visite, rien ne me ferait plus plaisir que de passer physiquement quelques minutes à bavarder avec vous.

     D’autres bonnes nouvelles me concernant sont sur le point d’aboutir, mais tant que ce ne sera pas concret je ne vous en parlerai pas plus, de prochains post vous en apprendront davantage.

     Bonne semaine à tous et à toutes, remisez provisoirement les pulls dans vos armoires pour profiter tant que faire se peut du radoucissement que l’on nous annonce.

     


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  • 2014 ne pointe pas encore le bout de son nez sur le calendrier que déjà les dates de futurs salons du livre me font les yeux doux. Si en Avril il est recommandé de ne pas se découvrir pas d’un fil, alors venez me retrouver au chaud et au sec le 06 de ce mois-là à Antony (92) et le 12 à la Chapelle St André (58210). Bien entendu nous aurons le temps d’en reparler d’ici là car d’autres dates ne manqueront pas de venir s’ajouter.

     

    Revenons à 2013 qui n’a pas encore dit son dernier mot. Dimanche prochain, le 27 octobre, j’ai reçu confirmation de ma présence au salon de Monéteau (89) non loin de la belle ville d’Auxerre. Pour toute information, rendez-vous sur ce lien http://www.anicom89.com/pages/festilivres-moneteau-comment-nous-trouver/profil/denis-lereffait.html

    De même j’ai reçu confirmation de ma présence au salon de Guillerval (91) le 24 novembre, idem pour le salon du livre de Mennecy en début décembre, date que je vous confirmerai très bientôt.

    Si vous entendez parler de salon du livre dans votre commune, ou aux alentours, faites m’en part, je suis toujours désireux, et de plus en plus, de me porter à la rencontre de mes lecteurs.

    Concernant mes livres, le troisième volume des aventures de Virginie de la Sablière se profil favorablement à l’horizon, tout comme le livre Providence, estampillé science-fiction, qui devrait voir le jour courant du premier semestre 2014 également. Pour tenir cette date, j'ai besoin que vous tous, passionnés de lecture et de science fiction, pour m'apporter votre aide en contribuant sur My Major Company. Ceux qui ont lu sur mon blog le début des aventures de Theosmose Oxford ne seront pas déçus, moins orienté Space Opéra, il devrait en surprendre plus d’un quant à la thématique choisie. Sans vous mettre l’eau à la bouche, le thème contenu dans ce livre est novateur, une fois de plus, comptez sur moi, je saurais vous surprendre…

     

    Je vous laisse continuer votre week end, je donne rendez-vous dimanche prochain à tous ceux qui viendront me voir à Monéteau.


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  • Merci à tous ceux qui ont bravé la pluie et le vent pour venir au salon Festilivres de Monéteau dimanche dernier. Je dois bien avouer que devant les caprices répétés de la météo, j’ai craint que cette fête bascule du rêve vers le cauchemar. Mais non, après un départ assez timide, les visiteurs sont venus nombreux pour converser, partager et aussi acquérir nos romans.

     

    Cerise sur ce gâteau, j’ai pu faire connaissance avec le propriétaire d’une des deux plus grandes librairies de la ville d’Auxerre qui a accepté de proposer mes livres à la vente (voir mon post précédent). Un éditeur m’a invité à envisager une nouvelle collaboration sur une thématique historique à l’image de celle développée avec mon personnage de Virginie de la Sablière. Nous allons approfondir la chose, ce projet mérite que j’y consacre une partie de mon énergie créative, je vous tiendrai au courant. Ce qui me plaisait dans cette proposition c’est que peu de temps avant l’ouverture officielle du Festilivres, un ancien éditeur est venu à ma rencontre pour me dire qu’après avoir parcouru quelques pages de mes  2 romans, il affirmait qu’ils auraient mérité une parution chez un grand éditeur, autant par la forme que par le contenu.

    Voilà bien un témoignage qui, en plus de tous ceux que vous m’adressez régulièrement, me donne l’énergie de continuer et la détermination de ne rien lâcher avant que mes talents d’auteur soient reconnus à une bien plus grande échelle.

    Je donne rendez-vous à mes lecteurs de la région parisienne au prochain salon auquel je participerai au mois de novembre dans le 91 (Essonne) dont je vous confirmerai la date et l’adresse exact sous peu.

     

    Bon WE à tous, profitez de ces 3 jours pour vous laisser emporter dans l’imaginaire d’un auteur qui n’attend plus que vous pour exprimer son talent.


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  • Depuis ce jour mes romans La Cabane aux Orties et sa suite La Reine Noire sont disponibles à la vente :
    Librairie Obliques située, 68 rue Joubert à Auxerre.


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  • Parmi ceux qui me suivent, certains ont passé le cap de l’édition mais pas celle du 1er salon. Avant de plonger dans cette superbe aventure, mieux vaut agir avec méthode et si possible se voir informer de quelques astuces. Se rater lors de cette première expérience n’est jamais plaisant, d’autant plus que dans l’année les occasions de rencontrer ses lecteurs ne se reproduiront pas cent fois.

    Si l’opportunité vous est donné de vous installer la veille (disons le samedi en fin d’après-midi), n’hésitez pas, il est important de connaitre l’espace qui vous sera réservé et les divers supports utilisables pour accroitre votre visibilité. Les visiteurs doivent vous voir de loin et vous identifier, c’est très important. Certains salon disposent des tableaux derrière les auteurs pour afficher des posters qui vous signalerons. Attention tous les salons ne le propose pas, prévoyez de venir avec de grands chevalets qui s’achètent facilement dans des magasins discount pour un prix modique ainsi que des tableaux blancs, vierges, pour coller vos visuels. Si des panneaux sont fournis renseignez vous car parfois les punaises et le scotch sont interdits, pensez à toujours posséder de la pâte à fixer.

    La dotation se cantonne le plus souvent à une table et une chaise. Prévoyez un napperon ou une nappe dans une couleur qui mettra vos livres en valeur. En parlant de vos ouvrages, en général et sauf cas exceptionnel jamais rencontré jusque là, une quinzaine d’exemplaire vendus est un maximum à prévoir. Ne vous encombrez pas de trente exemplaires ou plus, vous repartiriez dépités et déçu. Pour les valoriser achetez aussi deux petits chevalets, sur l’un disposez un livre côté couverture, et sur l’autre un livre côté quatrième de couverture. Cette astuce permettra aux visiteurs de lire votre résumé sans prendre votre livre en main. Non qu’ils risquent de vous le voler mais des enfants ou des adultes, passés quelques secondes avant par la case brownies et autres gâteaux sucrés, ont parfois les mains grasses… D’autre part des auteurs leur sautent souvent dessus pour leur faire l’article dès qu’ils le prennent en main, donc au bout de quelques minutes les acheteurs potentiels n’osent plus vous approcher.

    Un visiteur s’approche, dites lui simplement bonjour et attendez qu’il réponde avant de tenter d’aborder une quelconque conversation. Le client est farouche, si vous vous trouvez à l’entrée il s’éloignera en prétextant vouloir faire le tour du salon avant d’acquérir le moindre livre. La conjoncture économique actuelle ne nous est pas favorable, le plus souvent ils quitteront le salon sans rien avoir acheté, pour beaucoup ce salon représentera la sortie du dimanche et rien d’autre.

    Même si j’en reconnais le côté frustrant, ces manifestations sont souvent l’occasion de pouvoir engager la conversation avec d’autres auteurs, d’autres éditeurs, des libraires (très important les libraires pour vous proposer à la vente dans leurs boutiques souvent bien situées en centre-ville), partager est important, la plupart de vos voisins d’u jour ont vécus des expériences qui vous éviterons bien des désagréments dans l’avenir. Parfois l’après-midi peut paraitre longue quand on a l’impression de faire tapisserie, mais tout à un prix.

    En titre je vous parlais également d’astuces, en voici quelques-unes :

    1-Prévoyez des sacs plastiques, si il pleut les visiteurs n’achèteront pas de livres pour prendre le risque qu’ils soient mouillés, par contre si vous les protégez….

    2-De préférence mangez sur place un sandwich ou autre à votre convenance, n’abandonnez pas votre place. Il arrive ou est arrivé que des voisins jaloux de votre réussite ne se livre à quelques actes regrettables que vous ne parviendrez jamais à prouver, comme faire tomber vos livres ou plier quelques couvertures en accusant des enfants malintentionnés.

    3-Pensez à la monnaie, alors pour ne pas que cette journée ne tourne au cauchemar comptable, pratiquez des prix rond nécessitant qu’un minimum de pièces ou billets à rendre. Rater une vente par manque de monnaie est une expérience très désagréable, croyez-en mon expérience…

    4-La communication, comme vous l’imaginez sans peine est prépondérante, n’oubliez pas de faire concevoir des marques pages ou des flyers avec votre livre en visuel, ainsi que toute information qui vous souhaiteriez véhiculer sur votre personne.

    5-Votre éditeur dispose d’un ou d’une responsable de communication, parlez avec elle, ne craignez pas de lui faire part de votre inexpérience, sollicitez ses conseils, c’est toujours le premier maillon d’un salon réussi.

     

    La liste des conseils n’est pas exhaustives, si des questions vous viennent ou que vous souhaitiez à votre tour partager votre expérience des salons, ce blog est là pour que tout le monde puisse s’exprimer. De mon côté je reste disponible pour répondre à toutes questions ou promouvoir toutes astuces qui aideront mes contemporains à se réaliser.

    Bon WE à tous


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  • Dans le troisème et dernier opus de ses aventures, Virginie de la sablière devra revenir de nouveau à Paris pour reprendre le fil de son enquête. Accompagnée de Jules Saltus et des survivants de la tanière, ils redoubleront d'efforts et d'audace pour libérer Julie des griffes de ses geoliers. Les masques tomberont, chaque énigme recevra sa réponse. Après Paris et Versailles, ils prendront la route de la Dernière Forteresse Abbatiale pour comprendre ce qu'il s'est réellement passé dans la forêt d'Othe la nuit où ses parents ont disparus.


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    LA VIE

      Une naissance, un cri, des pleurs, la vie, les bras de ma mère, une caresse, une chanson, ensuite le calme, la chaleur d’une couverture, la douceur d’un drap, le sommeil, une voix rassurante, de l’amour, beaucoup d’amour.

     La maternelle, le début des contraintes, de la rigueur, des horaires. En file indienne, en silence, le temps de l’insouciance, des jeux, des contes, des apprentissages. La cours de récréation, premières disputes, premiers bobos, premières injustices, des bleus aux genoux, des écorchures aux coudes. Retour en classe, main dans la main, petites marches, petites tables, petits sièges, grands chagrins. Retour à la maison, un câlin, un bisou, des encouragements, de l’amour, beaucoup d’amour.

     La maternelle, l’école élémentaire, très vite, trop vite le collège. Le temps des copains, les premiers amis pour la vie, les emplois du temps, les profs étranges, les belles rencontres et les moins bonnes. Sixième, cinquième, les filles, la fille, le premier émoi. Un sourire, un regard, un poème, une lettre, une chanson, des promesses et parfois un baiser. La difficulté des sentiments, le regard des autres, le bonheur, l’amour, les petites trahisons, la première rupture, les chagrins de cœur, le soutien des amis, l’œuvre du temps, l’oubli, trop d’amour, beaucoup trop d’amour.

     L’adolescence, l’été, les vacances, le soleil, les corsages des filles, les jupes dans le vent. Blondes brunes, rousses, qu’importe, puis un jour le coup de foudre. L’amour avec un grand A, une grande inspiration, une déclaration. Main dans la main, heureux, les promenades sans fin sur la plage, mes doigts dans ses cheveux, la passion, la fureur des sentiments. Trop vite la fin des vacances, la séparation, les non-dits, l’éloignement, les tentations, la réception d’une lettre, d’un mail, la fin d’une histoire, l’amertume dans la bouche, la nausée, la tristesse, la bienveillance de ma mère, de l’amour, beaucoup d’amour.

     Dix-huit ans, le bac en poche, plus d’argent de semaine, les petits boulots, le quotidien des stages sans lendemain, les semaines interminables, mais fort heureusement les samedis soirs, Saturday night fever. Les chansons, la danse, la musique, pour certains l’alcool et les cigarettes, pour d’autres l’actualité, la bourse, la politique, les histoires de cœur. Soudain une ombre, une silhouette, le timbre d’une voix féminine, le charme d’un visage, les courbes de ses reins. Un rendez-vous, un second, un troisième, une première nuit, l’algèbre de l’amour, un plus un égal un. Réunion de famille, un engagement, une bague, des fiançailles, une autre bague, bonjour Monsieur le Maire, l’autel de l’église, le mariage, la nuit de noce inoubliable. Un petit nid douillet, la fureur de la passion, un retard, une échographie, un petit être, la vie, neuf mois, de l’amour, beaucoup d’amour.

     Une naissance…


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  • Jeudi de A à Z

    Au début il y avait le Verbe, puis la tradition orale est devenue écrite.

    Beaucoup de ces récits se sont perdus à travers les époques.
      
    Combien de ce nombre nous sont parvenus de nos jours, sans doute très peu, bien trop peu.

    Dans un an, un siècle, un millénaire, en restera-t-il seulement une qui nous sera encore conté les nuits d’hiver au coin du feu.

    Encore faudrait-il que le bois... existe, que les arbres peuplent encore nos forêts tant le béton et le bitume lui rongent les racines.

    Fallait-il que l’humanité impose son empreinte en réduisant la nature à des souvenirs uniquement présents sur des photos ou des cartes postales ?

    Guenièvre existerait-elle si Chrétien de Troyes n’avait pas relayé les récits de la légende du roi Arthur et des chevaliers de la table ronde ?

    Hector sans l’Iliade sous la plume d’Homer ?

    Isis et Osiris sans les hiéroglyphes ?

    Je veux dire ici que notre civilisation ne vaut que si elle se rappelle de son passé, imaginaire ou réel, comprenez que celui qui oublie son Histoire est condamné à reproduire toujours les même erreurs.

    Kirikou est une leçon dont nous devrions tous tirer des enseignements, si l’Afrique conserve la mémoire de ses anciens, l’Europe la sacrifie sur l’autel de la finance.

    Lire est déjà une activité en voie de disparition, penser le deviendra peut-être aussi demain…

    Mais je suis et je resterai un optimiste invétéré qui veut croire que rien n’est inéluctable.

    Némo, capitaine du Nautilus possédait une vision du monde au travers de la plume de Jules Vernes, imaginons à notre tour l’avenir en l’humanisant bien plus qu’il ne l’est.

    On ne peut pas se laisser soumettre aux diktats de la pensée unique qui veulent nous conditionner à adopter une vision tronqué de notre histoire, éteignez vos écrans et ouvrez les yeux.

    Plus jamais ça, entendait-on au terme de la seconde guerre mondiale, n’abandonnons pas nos idéaux de démocratie aux loups et aux chiens.

    Quand les ténèbres nous frapperont, la lumière de notre humanité se doit de les transpercer courageusement.

    Rien ne doit ternir ou pervertir le futur de notre si belle planète, rappelez-vous comme le disait intelligemment St Exupery, nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants.

    Si notre amnésie programmée ne survenait pas, quelle belle victoire nous pourrions revendiquer.

    Toi + moi + tous ceux qui le veulent, rassemblez-vous sous la bannière des hommes libres.

    Unissons-nous aux plus faibles, redressons la tête, défendons la veuve et l’orphelin.

    Victoire est un magnifique prénom que nous devons absolument léguer à nos enfants.

    Waterloo, un nouveau Waterloo doit sonner le glas de l’argent roi, de la corruption, élevez-vous comme Stéphane Hessel au-dessus de la mêlée et criez avec lui : indignez-vous !

    X ou y, quel que soit votre chromosome, vous êtes concerné, l’avenir vous appartient.

    Y a-t-il encore des héros parmi vous ? Moi en tout cas je veux m’en persuader.

    Zorro est mort, vive Zorro !!!

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  • Bonjour à tous,
    Juste ces quelques mots pour remercier tous ceux qui ont eut la bonne idée de venir nous rejoindre sur le salon du livre de Coulommiers qui se déroulait dans le parc des Capucins. Un très bon moment ponctué de belles rencontres sous un ciel des plus agréables, que demander de plus....
    De nouveaux lecteurs sont venus rejoindre ceux qui ont déjà lu les deux premiers volets des aventures de Virginie de la Sablière. Au sujet du troisème et dernier opus, comme je l'écrivais hiers à une lectrice qui m'interrogeait, il se trouve entre les mains de mon imprimeur, dans la semaine je devrai recevoir le bon à tirer, ensuite, soit en moins d'un mois, je disposerai des premiers exemplaires (soit une vingtaine) que je pourrai adresser par voie postale aux plus impatientes d'entre vous...
    D'expérience, le référencement auprès des web marchands, type amazon ou la Fnac, demandera une quinzaine de jours de plus.
    Bonne fin de dimanche ensoleillé à tous et à toutes.

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  • Bonjour à tous,
    Depuis lundi, Mélanie Baranger, rencontré sur le salon du livre de Coulommiers m'a créé une page auteur sur booknode.com. N'hésitez pas à aller la consulter, à déposer vos commentaires ou remarques sur La Cabane aux Orties et sa suite La Reine Noire, lui donner une note ou une apréciation à destination des nouveaux lecteurs ou futurs lecteurs. Pour plus de facilité, voici le lien :
    www.booknode.com
    Par ailleurs, visitez également la page : baranger melanie auteur, cette jeune femme traite dans ses livres d'un sujet qui concerne tous les amis des animaux, celui des chiens en Roumanie.
    Merci encore à elle et bonne journée à tous et à toutes.


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